Léa FINUCCI / Lighting Artist

[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »Featured Products » _builder_version= »3.0.78″ custom_padding= »0|0px|0|0|false|false »][et_pb_row custom_padding= »29px|0px|0|0px|false|false » _builder_version= »3.19.12″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.19.12″ parallax= »off » parallax_method= »on »][et_pb_text _builder_version= »3.19.12″ custom_margin= »-8px||4px » custom_padding= »10px|| »]

Léa FINUCCI

[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »3.19.12″]

Lighting Artist

[/et_pb_text][et_pb_image src= »https://lesfemmesdelimage.com/wp-content/uploads/2019/01/photoprofil-2.jpg » align= »center » _builder_version= »3.19.12″ max_width= »33% » max_width_tablet= »86% » max_width_phone= »60% » max_width_last_edited= »on|phone » module_alignment= »center » custom_margin= »-23px||-2px » custom_margin_phone= »||-48px » custom_margin_last_edited= »on|desktop » custom_padding_phone= »6px|| » custom_padding_last_edited= »on|desktop »][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row use_custom_width= »on » custom_width_px= »720px » custom_padding= »0||13px||false|false » use_background_color_gradient_1= »off » background_color_gradient_start_1= »#ffffff » background_color_gradient_end_1= »#ff9d82″ background_color_gradient_direction_1= »0deg » background_color_gradient_start_position_1= »50% » background_color_gradient_end_position_1= »50% » padding_top_1= »5% » padding_top_2= »40px » padding_right_1= »5% » padding_right_2= »40px » padding_bottom_2= »40px » padding_left_1= »5% » padding_left_2= »40px » padding_1_phone= »3%||1px| » padding_1_last_edited= »on|desktop » _builder_version= »3.19.9″ module_alignment= »center » custom_margin_last_edited= »off|desktop » padding_1__hover_enabled= »on »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.0.47″ padding_phone= »3%||1px| » padding_last_edited= »on|desktop » padding_left= »5% » padding_right= »5% » padding_top= »5% » parallax= »off » parallax_method= »on » use_background_color_gradient= »off » background_color_gradient_start= »#ffffff » background_color_gradient_end= »#ff9d82″ background_color_gradient_direction= »0deg » background_color_gradient_start_position= »50% » background_color_gradient_end_position= »50% »][et_pb_text admin_label= »Texte » _builder_version= »3.19.12″ text_font= »|||||||| » text_font_size= »17px » text_line_height= »1.8em » text_orientation= »justified » custom_margin_last_edited= »on|desktop » custom_padding_phone= »47px||| » custom_padding_last_edited= »on|desktop » custom_margin__hover_enabled= »on » custom_padding__hover_enabled= »on »]

 

L’éclairage des films d’animation est réalisé par des lighting artists, un métier indispensable pour créer le réalisme d’une scène. En effet, l’éclairage apporte tout son caractère au décor et aux personnages !

Ce magnifique métier est expliqué par Léa FINUCCI, lighting artist sur le film “Bob l’éponge” (sortie 5 Août 2020).

Elle nous fait découvrir en détail les secrets du métier de lighting artist.

Maëlle VABRE : En quoi consiste ton métier de lighting artist ?

Léa FINUCCI : Mon métier est d’éclairer des scènes 3D pour pouvoir ensuite rendre des images 3D, on reçoit les animations et les modélisations des scènes, des décors et des personnages, et exactement comme sur un plateau de cinéma, on place des lumières à l’aide d’un logiciel 3D puis on envoie le rendu sur des ordinateurs, ce qui produit les images que l’on verra à la fin.

M.V : Sur quel type de projet travailles-tu en ce moment ?

L.F : En ce moment je travaille sur le film Bob l’éponge.

M.V : Qu’as-tu fait comme études ?

L.F : J’ai fait Supinfocom Arles, qui se nomme actuellement MoPA. C’est une école sur 5 ans avec entrée sur concours, qui forme à différents métiers liés à la 3D.

Elle offre une formation générale en 3D et ce n’est qu’à partir de la 4ème année que l’on se spécialise et que l’on choisit de travailler dans l’image ou dans l’animation.

M.V : Depuis combien de temps fais-tu ce métier ?

L.F : Je travaille depuis deux ans car cela fait deux ans que je suis sortie de l’école.

M.V : Qu’est-ce qui t’a donné envie de te spécialiser dans le lighting artist ?

L.F : J’ai toujours été attirée par les images en général. Je ne voulais pas spécifiquement faire de la 3D, je voulais plutôt faire du cinéma ou de la photographie, mais j’étais déjà vraiment orientée vers l’image.

Quand j’ai commencé dans la 3D, j’ai pu tester un peu de tout car on réalise beaucoup d’exercices, on essaye beaucoup de choses et on participe à de nombreux workshops différents.

J’ai naturellement été attirée vers le lighting et vers la photographie en général.

M.V : Tu travailles actuellement sur le film Bob l’éponge, combien êtes-vous dans votre département à travailler sur ce film ?

L.F : En lighting, nous sommes une trentaine et nous sommes au total une équipe d’environ 200 personnes à travailler sur le film.

M.V : Comment répartissez-vous les tâches ?

L.F : L’organisation est très segmentée. D’abord, il y a les « juniors », et en avançant dans la hiérarchie, il y a les « middles », les « seniors », les « leads » (qui gèrent des équipes de quelques personnes), et enfin les « sups » qui gèrent le département en entier.

Puisque je n’ai que deux ans d’expérience je suis junior, je vais donc recevoir des scènes qui ont déjà été « pré-lightées » par des seniors ou des leads et je vais devoir décliner des plans à partir de ces scènes.

Ce sont des plans un peu moins importants que des plans qui par exemple vont installer une scène ou installer un nouveau lieu, je vais donc récupérer des plans importants et les décliner sur des plans en général moins difficiles.

M.V : Depuis combien de temps travailles-tu sur ce projet-là ?

L.F : Cela fait 7 mois, j’ai commencé en juin.

M.V : Quels sont les outils mis à ta disposition pour travailler sur ce projet ?

L.F : Nous travaillons sur un logiciel en particulier qui s’appelle Katana.

On utilise des logiciels différents selon le métier que l’on fait dans la 3D. En lighting, il y en a énormément, cela dépend des entreprises, mais on retrouve en général les mêmes.

C’est assez difficile à expliquer mais pour donner une idée imagée, ce qu’on fait ici sur Katana ressemble à un plateau de cinéma. On y retrouve toutes les scènes et les objets qui ont été modélisés ainsi que la disposition et les différents types de lampes (comme par exemple des lampes ressemblant au soleil ou à de petits points de lumières).

Nous avons le choix parmi ces outils et nous les choisissons et les disposons selon ce qui nous a été demandé.

M.V : Pour un plan de cinq minutes, combien de temps te faut-il pour faire la lumière ?

L.F : Cela dépend vraiment des retours que nous aurons de nos supérieurs et du directeur artistique. Parfois cela peut être validé très rapidement si nous avons réussi à suivre l’idée, mais d’autres fois cela peut prendre plusieurs semaines avant d’obtenir le résultat attendu par le directeur artistique.

En général nous lui montrons le plan 2 à 3 fois par semaine, en essayant de le montrer le plus souvent possible. Un plan obtient en moyenne entre 4 et 5 retours du directeur artistique avant d’être validé.

En réalité, la durée du plan importe peu en lighting, et c’est surtout la difficulté du plan qui joue (s’il y a beaucoup de lumières ou non par exemple). Cela dépend également de la production (s’il y a du retard ou pas) mais je dirais qu’un plan nécessite à peu près une semaine, voire deux s’il est un peu plus difficile.

Nous travaillons sur plusieurs plans simultanément. La production regroupe les plans qui se ressemblent, qui ont le même lighting ou qui sont dans la même scène ou la même séquence, puis ils sont regroupés et distribués à chaque artiste. Nous nous retrouvons donc tous avec 4 ou 5 plans qui se ressemblent beaucoup et qui sont donc faciles à décliner. En général, quand nous les montrons au directeur artistique, nous essayons de montrer l’ensemble du paquet afin qu’il ait une meilleure vue d’ensemble. Souvent, il suffit donc de valider un plan pour que les autres le soient très rapidement.

M.V : Êtes-vous libres de choisir les couleurs ou y a-t-il une charte graphique ?

L.F : Non pas du tout. Nous recevons des « color keys », ce sont des illustrations réalisées par les artistes du film qui sont focalisées sur la lumière et les couleurs qui ont été choisies par le directeur artistique et le réalisateur.

Nous les recevons avant de commencer les plans puis nous montrons nos plans à nos leads et à nos supérieurs, qui eux ont une vision globale du film plus poussée que la nôtre. Ils peuvent ensuite nous orienter. C’est toutefois le directeur artistique qui décide, nous avons peu de liberté.

Cependant, cela dépend des productions sur lesquelles nous travaillons, s’il s’agit de gros clients ou non. Dans les plus petites entreprises il y a beaucoup plus de liberté. Je travaille dans une entreprise assez grande donc il y en a moins, mais il peut arriver que le directeur artistique soit un peu perdu. Dans ce cas, nous pouvons proposer des choses, parfois ça marche. Cela dépend de l’entreprise, de la taille de l’entreprise mais aussi de celle du projet.

M.V : Dans quel studio travailles-tu ?

L.F : Je travaille pour le studio Mikros Animation.

M.V : Depuis combien de temps travailles-tu chez eux ?

L.F : Cela fait 7 mois que je travaille avec eux à Montréal pour ce projet. J’avais déjà collaboré avec eux à Paris il y a deux ans sur le film Sherlock Gnomes, puis j’ai changé d’entreprise entre temps.

M.V : Dans ton métier, es-tu rattachée à un studio ou les studios te contactent-ils s’ils apprécient ton travail ?

L.F : Non, nous ne sommes pas rattachés à un studio. S’il est possible de continuer à travailler dans un studio qui nous plait, tant mieux, mais nous sommes souvent amenés à bouger de projet en projet.

Ce n’est pas comme un CDI.

M.V : Comment développes-tu ton réseau ? Comment prends-tu contact avec ces studios ?

L.F : Au tout début, il faut envoyer des mails accompagnés d’une vidéo qui présente tous nos travaux, c’est comme cela que j’ai été embauchée pour la première fois, car je n’avais pas du tout de contacts.

Par la suite, j’ai développé un réseau avec les gens avec lesquels j’ai travaillé. Ce milieu est assez petit et fonctionne donc beaucoup grâce au bouche à oreille. Et puis, à force d’envoyer des mails, on finit par nous recontacter.

J’ai également été embauchée sur le film Minuscule 2, qui était un très bon projet, grâce à des personnes de ma promotion qui travaillaient dessus. En entendant qu’ils cherchaient encore une personne, ils ont proposé mon profil et c’est comme ça que j’ai eu le poste.

Le réseau d’anciens de l’école y participe également beaucoup, notamment via une page Facebook des anciens élèves. À chaque fois qu’on entend qu’un poste se libère ou est recherché, on le publie sur Facebook. Cela crée une véritable communauté qui permet de trouver facilement, mais aussi d’avoir des recommandations.

Je trouve que dans le milieu il y a une bonne entente entre les artistes et surtout de l’entraide, il n’y a pas du tout de concurrence.

M.V : Sur quels critères te bases-tu pour travailler avec un studio ou sur un film ?

L.F : Premièrement le film en lui-même, s’il s’agit d’un projet qui m’intéresse puis deuxièmement la réputation du studio.

Nous savons par exemple que dans certaines entreprises, la gestion des artistes peut être discutable ou encore qu’il y règne une mauvaise ambiance. Il s’agit d’un milieu assez restreint où tout finit par se savoir, alors je préfère éviter ce type d’entreprise.

Si le projet et l’ambiance de l’entreprise coïncident bien, alors cela me donne envie d’y aller.

M.V : Comment gères-tu la pression liée aux contraintes en termes de financement et de charge de travail ?

L.F : Là encore, cela dépend de l’entreprise. En tant que junior nous ne sommes pas directement concernés par ces questions qui sont plus du ressort de nos supérieurs et de la production, qui doivent gérer le budget et le temps.

Toutefois nous le ressentons malgré tout, car peu de temps et un budget limité impliquent beaucoup d’heures supplémentaires, ce qui reste gérable sur un court laps de temps. Par exemple, sur la fin du film Bob l’éponge et comme sur la majorité des productions, nous savions que nous aurions à faire des heures supplémentaires, car il y a toujours une accumulation de retard. Cela fait partie du métier et je pense qu’il faut l’accepter.

Cela influence également le fait que l’on évite certaines entreprises qui auraient la réputation de demander beaucoup d’heures supplémentaires, pas toujours payées. Cela fait partie du processus de sélection.

M.V : Tu es lighting artist pour le studio Mikros Animation et vous êtes 30 lighting artists, comment cela se passe-t-il en termes de parité ?

L.F : Cela dépend des entreprises et des projets en général mais il est clair qu’il y a de plus en plus de parité. Néanmoins, il y a toujours eu plus d’hommes que de femmes dans les entreprises au sein desquelles j’ai pu travailler.

Cela a été pendant longtemps un métier masculin et ce n’est que depuis très récemment que de plus en plus de femmes s’y intéressent. Déjà à l’école, j’étais dans la première promotion composée majoritairement de femmes. Ainsi, les promotions actuelles sortant des écoles sont globalement paritaires ce qui semble montrer une véritable évolution du métier à ce niveau, avec un plus grand nombre de femmes qui s’insèrent sur le marché.

M.V : Quel est le meilleur investissement que tu aies fait dans ton métier ?

L.F : Je pense que ce sont mes études. Il m’aurait été difficile de commencer dans ce métier si je n’avais pas fait ces études, étant donné sa spécificité et le nombre de logiciels particuliers qu’il nécessite, même si cela représente un certain coût en termes d’investissement.

M.V : Qu’aimerais-tu voir de nouveau dans ton métier ?

L.F : J’aimerais qu’il y ait plus de petits projets. J’ai beaucoup travaillé sur des projets issus de grandes boîtes de production comme Paramount par exemple, et j’aimerais voir plus de films provenant de petites boîtes de production, avec des réalisateurs qui ont plus de libertés, qui peuvent tester de nouvelles choses et qu’il y ait donc plus de créativité en général. Mais cela est compliqué, il s’agit comme très souvent d’un problème d’argent. Il existe de nombreux artistes excellents dans le milieu qui sont restreints à travailler dans des productions très strictes où il y a beaucoup d’argent et donc beaucoup d’enjeux, ce qui tend à tuer la créativité.

Il existe un véritable marché derrière les films d’animations. Prenons l’exemple des grands films d’animations qui sortent des productions Disney. Derrière, de nombreux produits dérivés vont sortir, ce qui met en jeu énormément d’argent. Cela doit donc absolument plaire aux enfants afin qu’il y ait des bénéfices.

Il y a néanmoins de plus en plus de films d’animation centrés vers les adultes, produits notamment par de grosses entreprises comme Pixar, qui sort en ce moment des films qui ciblent les enfants mais surtout les adultes.

Plus globalement, on observe encore une forte orientation vers les enfants et il n’y a souvent que dans les festivals que les films d’animation pour adultes sont accessibles. Le problème est toujours le même, les grandes entreprises produisent des films qui leur rapportent de l’argent et les entreprises indépendantes ont beaucoup plus de mal à sortir leurs projets et à rémunérer leurs artistes. En effet, un film d’animation représente tout de même un budget important.

M.V : Selon toi, quelle est la principale qualité à avoir pour devenir lighting artist ?

L.F : Je pense qu’il est essentiel de vraiment développer son œil, de regarder beaucoup de films, de photographies et de peintures.

Développer son œil, c’est pouvoir cibler directement ce qui produit telle lumière, ce qui donne tel effet, c’est comprendre la lecture d’une image, parce que la lumière guide énormément la lecture d’une image. C’est ce qui fait qu’un lighting artist peut devenir doué et talentueux, ce n’est pas tant le côté technique qui quant à lui peut toujours être appris assez facilement.

M.V : Nul besoin donc d’être doué(e) en dessin par exemple pour pratiquer ce métier ?

L.F : Non, dans ma promotion par exemple, certains ne savaient pas forcément très bien dessiner et s’en sont pourtant très bien sortis.

C’est toujours un plus lorsque l’on fait des études d’art de savoir dessiner mais dans le milieu, on ne nous demande pas du tout de savoir dessiner. Ce qui est important c’est d’avoir une véritable culture cinématographique et picturale, et de développer un œil photographique. Voilà ce qui est vraiment important en lighting.

M.V : Je trouve que l’ambiance de ce métier est très chaleureuse, et tout le monde a l’air de s’apprécier.

L.F : Je pense qu’il y a moins de concurrence car il y a quand même beaucoup de travail, surtout en ce moment. On fait vraiment des films ensemble, on n’y arriverait pas seul. Cela découle de cet esprit d’équipe qu’il y a dans les studios. Si un département commet une erreur, cela signifie que le travail du département suivant sera également compromis. Il y a donc un esprit d’équipe qui est à la base de ce milieu et cela se retrouve dans les relations que l’on peut avoir avec nos collègues. Je m’entends d’ailleurs très bien avec les miens. Bien sûr il peut y avoir des cas où cela se passe mal, mais dans l’ensemble l’ambiance est quand même plutôt chaleureuse.

M.V : Quel est ton échec favori ?

L.F : J’avais été retenue pour un projet à Londres, un assez gros film de Disney qui semblait intéressant, surtout pour le CV, et le film a été annulé notamment parce qu’il était produit par John Lasseter, grand nom de Pixar-Disney. C’était au moment du mouvement « Me too », durant lequel des informations le concernant ont été divulguées, entrainant l’arrêt du film. Je n’ai donc pas été à Londres et je n’ai pas travaillé sur ce projet. Mais c’est à ce moment la que j’ai travaillé sur Minuscule 2 qui a été une super expérience ( Et d’ailleurs le film est nominé au César 2020 dans la catégorie meilleur film d’animation ! ).

Au final j’ai préféré ne pas travailler sur ce gros projet… pour travailler sur un autre plus petit mais bien plus intéressant ! 

M.V : Qu’as-tu prévu pour la suite ?

L.F : Bonne question ! Je ne sais pas encore, je virevolte de projet en projet. C’est un peu trop tôt pour le dire pour le moment car je suis encore sur Bob l’éponge jusqu’en mai et c’est encore un peu tôt pour chercher, mais je pense rester sur Montréal car il y a énormément de studios et de films qui se font là-bas.

Ne pas savoir ce que l’on fera dans 6 mois est le cas de beaucoup de personnes qui travaillent dans la 3D.

M.V : Quel conseil donnerais-tu à une personne qui est sur le point d’entrer dans ce milieu ?

L.F : Je conseillerais de ne pas avoir peur de s’investir, surtout au début lorsque l’on fait ses études, c’est quand même énormément d’investissement, beaucoup de nuits de travail pour comprendre et apprendre.

Une fois qu’on rentre dans le milieu, il est essentiel de rester quelqu’un de très ouvert, de chaleureux et d’avoir un bon esprit d’équipe, parce que par la suite tout se sait dans le milieu. Donc si on veut se faire une place dans le milieu, il faut avoir un bon réseau, il faut être une personne agréable, avec qui on a envie de travailler.

Si cela se passe bien, il n’y a pas de souci, je pense qu’il est quand même assez facile de se faire une petite place dans le milieu, en tous cas pour le moment.

 

 

[/et_pb_text][et_pb_divider color= »#f48c7c » divider_weight= »3px » height= »10px » disabled_on= »on|on|off » _builder_version= »3.19.12″ max_width= »80px » module_alignment= »left » custom_margin= »||20px| » animation_style= »slide » animation_direction= »bottom » saved_tabs= »all » locked= »off »][/et_pb_divider][et_pb_text _builder_version= »3.19.12″ text_font= »Georgia|700||||||| » text_font_size= »17px »]

Suivez Léa FINUCCI

[/et_pb_text][et_pb_social_media_follow _builder_version= »3.19.12″][et_pb_social_media_follow_network social_network= »instagram » url= »https://www.instagram.com/leafinucci.art/?hl=fr » _builder_version= »3.19.12″ background_color= »#f7d584″ follow_button= »off » url_new_window= »on »]instagram[/et_pb_social_media_follow_network][et_pb_social_media_follow_network social_network= »linkedin » url= »https://www.linkedin.com/in/l%C3%A9a-finucci-4b2445104/ » _builder_version= »3.19.12″ background_color= »#f48c7c » follow_button= »off » url_new_window= »on »]linkedin[/et_pb_social_media_follow_network][et_pb_social_media_follow_network social_network= »vimeo » url= »https://vimeo.com/user27006206″ _builder_version= »3.19.12″ background_color= »#f7d584″ follow_button= »off » url_new_window= »on »]vimeo[/et_pb_social_media_follow_network][/et_pb_social_media_follow][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]